L’estimation professionnelle :
la base d’une vente réussie

L’évaluation juste d’une maison est déterminante. Plutôt qu’une moyenne au mètre carré, je m’appuie :

• sur les ventes réellement conclues (Notaires, DVF),
• sur la connaissance fine des micro-secteurs (Pennautier, Villemoustaussou, Palaja, Trèbes…),
• et sur l’expérience terrain pour tenir compte des atouts et des points faibles.

Résultat : un prix d’affichage réaliste et attractif, gage d’une vente rapide et sécurisée.
C’est précisément ce travail que je réalise pour chaque vendeur.

Les erreurs à éviter :
le rôle protecteur de l’agent

Mettre en vente sa maison sans accompagnement expose à des écueils qui peuvent coûter du temps et de l’argent. Voici les cinq principales erreurs que je constate le plus souvent chez les vendeurs particuliers :

1. Surestimer le prix et voir l’annonce s’enliser

Un tarif trop haut fait fuir les acheteurs sérieux. Au fil des semaines, l’annonce perd de l’intérêt. Dans un marché descendant, on finit souvent par baisser… et vendre moins cher qu’en partant au bon prix.

2. Oublier certains diagnostics obligatoires

Les diagnostics sont là pour sécuriser la transaction. Un dossier incomplet ou obsolète peut compromettre totalement la vente : si un élément nouveau est découvert (non-conformité d’assainissement, amiante, etc.), l’acheteur peut changer d’avis et se rétracter, entraînant perte de temps et réputation. Je m’assure que tout est prêt avant la mise en ligne pour éviter ce risque.

3. Diffuser des photos non valorisantes

On n’a pas deux occasions de faire une bonne première impression. Dans une époque où tout se joue sur l’image, des photos sombres ou mal cadrées font chuter l’intérêt et le prix perçu. Une présentation professionnelle et optimisée du bien (photos, plan, visite virtuelle) est devenue obligatoire pour attirer les bons acheteurs. C’est un point que je gère systématiquement.

4. Répondre de manière dispersée aux acheteurs

Lorsqu’un particulier met sa maison en vente, il peut être assailli d’appels : acheteurs, curieux, mais aussi très souvent… d’autres agents immobiliers qui cherchent à récupérer le mandat. Résultat : trois fois plus d’appels, perte de temps et charge mentale. En confiant la vente à un professionnel, je filtre et centralise les contacts : seuls les vrais acquéreurs intéressés sont rappelés et suivis, et vous êtes libéré de cette pression.

5. Multiplier les agences en pensant augmenter ses chances

Beaucoup de vendeurs croient qu’en mettant leur maison dans plusieurs agences, ils triplent leurs chances de vendre. Mais en réalité, c’est l’inverse : aujourd’hui, les acheteurs regardent tous les portails internet en priorité et comparent.

Un bien présent dans plusieurs agences n’apparaît pas comme “rare” mais comme “invendu”.

Dans un marché où l’offre est plus abondante que la demande, les acheteurs mettent les agences en concurrence… et font baisser le prix.

À l’inverse, une maison en exclusivité se vend plus rapidement et plus cher : les acheteurs sont en concurrence entre eux et non entre agences, ce qui permet d’élaborer une stratégie de mise en vente cohérente, de créer un effet d’urgence et d’obtenir le meilleur prix.

En conclusion, un mandat exclusif est l’outil le plus efficace pour vendre vite et bien, car il met les acheteurs en compétition et non les agences.